Immigration la fin d’un mythe

Eléonore Bez

Tribune libre

27 avril 2020

Tribune libre d'Eléonore Bez, conseillère régionale PACA

Chaque Assemblée plénière des conseils régionaux voit défiler son lot de subventions proposées par les majorités en place.

La région est un des grands distributeurs de l’argent du contribuable.

Cet argent qui, des poches des Français, part à l’Union européenne, qui nous en renvoie une petite partie.

Distillées pour nos TPE-PME, nos artisans, commerçants, notre patrimoine à coups de paperasse à remplir, fastidieuse malgré les promesses de simplification.

Généreusement offertes en revanche aux « défavorisés », aux «  publics en difficulté » qui habitent dans les quartiers prioritaires : ceux que le gouvernement a choisi et qui s’embrasent désormais chaque nuit à coup de kalachs, de mortiers et de « wallah à mort les porcs ».

Mais pour quelle raison continue-t-on encore à leur donner cette manne ?

Pour acheter cette paix sociale, cette carte électorale si nécessaire à la survie des dinosaures d’une politique rejetée par le Peuple.

Les racailles de ces quartiers et les politiques à plat ventre devant leur vote ne peuvent plus vivre ensemble : ils survivent ensemble dans un

La religion du vivre ensemble et son enfant le « bien vivre-ensemble » s’est effondrée définitivement.

La classe politique et ses incantations sont ridicules face aux caïds des cités.

Les soviets-bobos, les droitards bien-pensants s’agitent encore confinés dans leur idéologie coincée entre les 4 murs de leurs immeubles.

Montebourg, Chevènement reviennent hanter la scène politique drapés de souverainisme, mais tous ont voulu, voté et soutenu la politique de la ville, la politique de l’immigration massive.

La vérité toute crue c’est que plus personne ne vit ensemble.

Après la dérive des continents, la dérive de deux mondes.

Le monde du NTM et le monde d’un pouvoir acharné et démodé.

La France n’est plus la France à cette heure. Malade du COVID, elle se meurt également de cette immigration massive qu’elle a nourrie en son sein.

La seule manière de retrouver la France est de briser ce cercle. De dire non à l’immigration massive, de dire non au mensonge de « l’immigration, chance pour la France ». L’immigration-submersion est une catastrophe.

Ce qui est pour nous un lieu commun est pourtant une urgence absolue que nos compatriotes doivent bien prendre en compte. Eux qui sont en première ligne de la violence de l’immigration.

Briser ce cercle pour retrouver notre pays. Cela n’est possible qu’avec la formidable dynamique du Rassemblement National.

A celles et ceux qui doutent encore nous devons leur rappeler que revivre EST possible : impossible n’est pas français.

Il suffit d’appliquer des mesures simples et de bon sens : fermeture de nos frontières ; arrêt de la politique de la ville ; priorité nationale pour les aides sociales et familiales ou l’attribution de HLM ; neutralisation définitive des racailles en les réprimant sévèrement, expulsions des clandestins, renforcement des forces de police et rétablissement d’une justice au service des Français.

En France on ne nique pas nos mères, en Occident on honore son père et sa mère

En France, en Occident, on ne massacre pas des innocents au nom d’une dictature islamique.

En France, en Occident, on vit bien ensemble sans les racailles « wesh wesh Wallah» qui n’ont et n’auront jamais rien de Français.

En France et en Occident ce sont les clochers qui retentissent, pas le chant du muezzin.

Les échéances électorales approchent. Des communes aux régions, jusqu’à la Présidentielle il est plus que jamais temps de revenir aux fondements de notre identité Française : à ce respect mutuel qui n’est pas un vivre ensemble imposé mais de la courtoisie, du savoir-vivre retrouver l’harmonie qui règne entre les Français, les valeurs qui ont forgé notre pays et notre civilisation.

Pour cela l’unique mouvement et la seule personne qui redresseront notre pays, c’est le Rassemblement National avec Marine Le Pen.

Eléonore Bez

Tribune libre

27 avril 2020

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