Le Pacte Asile et Migrations, examiné ce jour à Bruxelles, est un moment de vérité pour l’ensemble des élus au Parlement européen, qui auront des comptes à rendre devant les peuples d’Europe.
Alors que l’immigration de masse devient un défi existentiel qui n’en est qu’à son commencement et constitue désormais partout en Europe une menace pour notre sécurité, notre identité et la stabilité de nos sociétés, l’Union européenne choisit la voie de la faiblesse et de l’appel d’air.
Les représentants d’Emmanuel Macron se déclarent ouvertement favorables à l’alternative : « l’accueil ou la contribution financière ». Dans la réalité, pour les Français, ce sera la submersion ou la punition. La France sera ainsi contrainte d’accueillir des milliers de migrants dans ses villes et villages, ou bien de subir des sanctions financières pour avoir le droit d’en être épargnée. Il s’agit pour nous d’une ligne rouge absolue.
Les peuples d’Europe ne veulent être ni remplacés, ni submergés : ils aspirent à la protection et au respect de leur volonté.
Le Rassemblement National s’opposera de toutes ses forces à ce Pacte de submersion, et appelle les Français à se saisir de l’élection du 9 juin comme d’un référendum pour ou contre cette immigration massive qu’Emmanuel Macron et Ursula von der Leyen, loin de vouloir réguler ni limiter, souhaitent accélérer.