Alors qu’une crise profonde secoue le monde agricole, et à l’approche du Salon international de l’agriculture qui met en valeur l’excellence française, l’Union Européenne, avec la passivité des gouvernements successifs, enfonce un nouveau clou sur le cercueil de nos producteurs.
L’accord commercial signé avec le Mercosur ouvre nos marchés à des millions de tonnes de produits agricoles étrangers, soumis à des règles bien moins strictes que celles imposées à nos agriculteurs.
Les chiffres parlent d’eux-mêmes : 160 000 tonnes de viandes bovines, 180 000 tonnes de volailles, 3,4 millions de tonnes de maïs et 190 000 tonnes de sucre inonderont bientôt notre marché, tirant une nouvelle fois les prix de nos agriculteurs vers le bas.
Pendant ce temps, le Brésil continue d’utiliser des substances interdites en France depuis 20 ans, mettant en danger la santé des consommateurs européens.
La Commission européenne sait que cet accord est un désastre et propose d’ores et déjà un fonds d’indemnisation pour les agriculteurs, reconnaissant ainsi les ravages qu’il va provoquer.
Nos producteurs ne veulent pas d’aumône, ils veulent pouvoir vivre dignement de leur travail dans notre pays où la vente à perte est souvent devenue la règle pour eux.
Alors que la France affiche une opposition de façade, Emmanuel Macron n’a jamais réussi à stopper les négociations.
Au Rassemblement National nous refusons cette capitulation et exigeons :
❌ L’abandon immédiat de l’accord Mercosur, qui sacrifie notre agriculture ;
❌ L’instauration de clauses miroirs, pour que les produits importés respectent les mêmes normes que ceux produits par nos agriculteurs ;
❌ Un moratoire sur les accords de libre-échange destructeurs, qui tuent nos filières ;
❌ Le patriotisme économique, avec des circuits courts et une priorité aux produits français ;
L’agriculture, ceux qui font vivre la ruralité et façonnent ses paysages sont l’âme de la France, sa souveraineté n’est pas à négocier.
Signez notre pétition pour la défense du modèle agricole français. Avec nous, exigez un refus ferme et définitif de l’accord de libre-échange avec le Mercosur pour protéger nos agriculteurs, notre économie et notre souveraineté alimentaire !