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Le militantisme de la Ligue des Droits de l'homme est-il financé par des fonds étrangers ?

Steeve Briois

Communiqué

18 août 2016

Communiqué de presse de Steeve Briois, Vice-président du Front National, Maire d'Hénin-Beaumont, Député français au Parlement européen

Alors qu’un étonnant silence des médias français entoure la divulgation des fichiers de l’Open Society de l’affairiste George Soros, la lecture des documents permet d’entrevoir la volonté du milliardaire américain de peser sur la politique française et européenne.

Ainsi auraient été attribuées à des associations d’extrême-gauche des subventions particulièrement grasses en vue de peser sur les élections municipales et européennes de 2014. Parmi celles-ci, le CCIF mais surtout la Ligue des Droits de l’homme, prétendument apolitique, qui s’est toujours défendue de prendre position aux diverses élections. Le texte justifiant l’octroi d'une subvention de 66000 dollars par le lobby de la manière suivante : « Les objectifs sont de contrer et de déconstruire les idées xénophobes. D’anticiper les victoires électorales et de sièges dans les exécutifs locaux, et de limiter l’impact et l’influence des idées xénophobes durant les élections européennes.». Dans l'imaginaire de ces idéologues, on comprend entre les lignes qu'il s'agit de demander à ces officines de lutter contre le Front National contre rémunération.

Si les SorosLeaks sont authentiques, ils appellent concernant la LDH deux constats :

- La Ligue des Droits de l’Homme est bien une association politique qui perçoit à ce titre, en plus de subventions publiques, de l’argent d’un lobby étranger particulièrement libéral d'un point de vue économique.

- Elle accepte de l’argent d’une fondation étrangère dirigée par un homme dont la haine du patriotisme et des identités nationales est bien connue et dont la philanthropie a toujours, et de manière unanime, été motivée par le profit.

Plus généralement, il est proprement scandaleux qu'une telle omerta plane sur les tentatives par un homme d'affaires étranger, à grands renforts de subventions monumentales, de peser sur la politique française et européenne, sans que cela ne soulève la moindre protestation de la classe politique et médiatique.

Nous attendons de pied ferme tous ceux qui nous avaient reproché, il y a deux ans, de ne plus vouloir participer au financement de la Ligue des Droits de l’homme au motif qu’elle était politisée et ne pouvait prétendre à ce titre à bénéficier d’un concours public.

Steeve Briois

Communiqué

18 août 2016

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