Communiqué de Presse de Steeve Briois, Secrétaire Général du Front National, Conseiller régional du Nord-Pas-de-Calais
Un homme égorgé en pleine rue vendredi soir, deux personnes froidement abattues en discothèque : Lille semble confirmer qu'elle est devenue un véritable coupe-gorge, contrairement à ce qu'affirme benoîtement l'adjoint à la vie noctune de la ville Roger Vicot, totalement déconnecté des réalités, voyant dans la fusillade de Samedi soir un évènement "pas représentatif de la vie nocturne lilloise".
Plus généralement c'est la métropole lilloise qui voit sa délinquance et sa criminalité se radicaliser : les home et car jacking ultra-violents se multiplient, les agressions gratuites et crapuleuses se répêtent, la série de morts troublantes dans la Deule durant l'hiver 2010-2011 n'a toujours trouvé aucune explication satisfaisante, et la métropole confirme chaque jour sa position de plaque-tournante de la drogue et de la prostitution.
Steeve Briois, Secrétaire général du Front National et conseiller régional du Nord-Pas-de-Calais, s'inquiète de cette flambée de violence et de son insupportable propagation. Il met en cause directement Martine Aubry, l'ensemble des socialistes locaux, et le précédent gouvernement UMP pour leur incapacité à avoir pris les dispositions nécessaires pour rétablir la sécurité de nos compatriotes.
Le simple fait de savoir que l'auteur de la fusillade de samedi soir est un multirécidiviste, et qu'il a pu sans difficulté passer la frontière franco-belge après son crime, est symbolique de l'échec des politiques menées depuis plus de 40 ans.
A force d'angélisme et de laxisme, on ne peut s'étonner de voir ces tragédies devenir de plus en plus courante : ça n'est pourtant pas faute d'avoir prévenu, mais nous constatons tristement que quelques morts plus tard, aucune mesure drastique n'a été retenue. Nous mettons en garde le nouveau gouvernement socialiste : s'il ne fait rien très vite, il n'aura aucune excuse pour nier sa responsabilité morale dans les prochains drames à venir.
Par ailleurs, on ne nous fera pas cette fois le coup de rebaptiser Fayçal Mokhtari en Marcel Dupont : la manipulation a ses limites !