Communiqué de Wallerand de Saint Just, secrétaire départemental de la fédération du Front national de Paris
L’émeute interethnique de la semaine dernière à Calais, les manifestations des riverains venus jusqu’à Paris pour dénoncer la faillite économique de la ville, l’extension en tâche d’huile de l’occupation jusque Grande Synthe, cela n’a pas suffit pour Anne Hidalgo. Depuis les ors de l’hôtel de ville, le maire de Paris a décidé d’infliger au parisien un camp de réfugiés au cœur de notre capitale.
Elle pérennise ainsi la politique d’appel d’air permanent de la municipalité, amenant toujours plus de clandestins à Paris, multipliant les situations d’insalubrité et d’insécurité de camps sauvages toujours plus nombreux. Alors qu’elle vient justement d’être condamnée en justice pour défaut de sécurité et de salubrité du quartier de Château-rouge, envahi par les vendeurs à la sauvette, pour leur immenses majorité des clandestins en quête de revenus, Anne Hidalgo ne semble tirer aucune leçon et souhaite continuer à attirer les migrants dans nos quartiers.
Un camp de réfugiés, fut-il aux normes de l’ONU, n’a pas sa place à Paris, il n’a pas sa place en France. Ces installations, nécessaires, doivent être établies dans les pays les plus voisins des zones de conflits afin de limiter le déracinement et de permettre un retour rapide sur la terre de leurs ancêtres de ceux qui ont du fuir la guerre. Installer ces camps dans des pays comme la France est une incitation à une immigration économique et pérenne que les 10 millions de français pauvres ne peuvent plus accepter.
Le Front National dénonce avec vigueur cette nouvelle folie d’Anne Hidalgo. Alors que 400 millions d’euros au moins manquent au budget de la ville, l’argent des parisiens doit être utilisé pour développer la capitale, pas pour contribuer à sa dégradation. Puisqu’elle est si friande de démocratie participative, le Front National demande à Anne Hidalgo d’organiser un référendum sur cette question aussi dramatique pour l’image et l’avenir de notre capitale