Communiqué de presse de Gilles Pennelle, Secrétaire Départemental du Front National d’Ille-et-Vilaine
Le samedi 8 février à Rennes se tenait la réunion publique de Gérard de Mellon, tête de la liste Rennes Bleu Marine, présidée par Nicolas Bay, membre du bureau politique du Front National. Des associations de gauche et d’extrême gauche avaient, depuis plusieurs jours, appelé à empêcher sa tenue.
Elles ont été entendues : des milices cagoulées et lourdement armées ont marché sur la salle de la Cité, lieu de la réunion transformé en véritable camp retranché. Face à la détermination des forces de police et de gendarmerie, dont il faut saluer le travail, elles ont été repoussées.
Des dizaines d’individus en furie se sont alors attaquées à des commerces, des véhicules, du mobilier urbain et même à un commissariat de police ! Les photos des différentes agences de presse en témoignent.
Les responsables de ces groupes ultra violents (« Antifas », Fédération anarchiste….) et les bars du quartier de la place Saint Anne qui leur servent de base arrière sont bien connus des services de police et de la justice.
Le Front National demande donc au Ministre de l’Intérieur l’interpellation rapide de ces individus et la dissolution des groupes violents qui menacent la liberté d’expression et la République.
La fédération d’Ille-et-Vilaine du Front National tient aussi à faire part de son étonnement face à l’étrange silence de la classe politique UMP, PS et UDI locale et nationale. Elle n’a pas condamné ces graves violences et ces atteintes à la libre expression d’une grande formation politique et de son candidat à la mairie de Rennes.
Le Front National apparaît une fois de plus comme le seul défenseur des libertés publiques et de la République.