Agression du préfet de Mayotte et du maire de Tsingoni : l’instauration de l’état d’urgence ne peut plus attendre !

André Rougé

Communiqué

09 avril 2024

André Rougé

Député français au Parlement européen

Délégué national aux Outremer du RN

Ce samedi 6 avril, lors d’une fête organisée entre les villages de Mirereni et Combani, des individus extérieurs se sont invités pour semer la terreur.

Ces hors la loi ne redoutant rien, ni personne, n’hésitent même plus à s’en prendre au représentant de l’État, le préfet de Mayotte M.Bieuville, ainsi qu’aux élus locaux avec le maire de Tsingoni.

En tant que député français au Parlement européen, et délégué national à l’Outremer du Rassemblement National, je tiens à apporter mon soutien au préfet de Mayotte, représentant de l’État, ainsi qu’au maire de Tsingoni.

Depuis des années, Marine Le Pen et Jordan Bardella alertent sur cette explosion de la criminalité qui fait sombrer Mayotte dans un chaos généralisé !

Lors de sa venue dans le 101e département français en décembre 2022, Jordan Bardella avait réclamé l’instauration de l’état d’urgence à Mayotte, permettant, entre autres, des perquisitions administratives.

Quid de cette réclamation ? Que font le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin et le Premier ministre Gabriel Attal ?

Le ministre Darmanin, aveuglé par son incompétence, a cru qu’une simple opération « Wuambushu » allait mettre un terme à l’immigration et son corollaire l’insécurité. Mais, le déficit de forces de l’ordre que Wuambushu 2 retrouvera avec les cérémonies du 70e anniversaire du débarquement et les Jeux olympiques, n’endiguera en rien la criminalité.

Les différents ministres et gouvernements successifs n’ont eu de cesse que d’exploiter la misère de nos compatriotes mahorais à des fins électorales, oubliant que ce sont des Français à part entière et que, la première des missions régaliennes de l’État est la sécurité, partout et pour tous.

Sans un bras de fer diplomatique avec l’Union des Comores, sans un gel des transferts de la diaspora comorienne, et sans une politique migratoire d’une grande fermeté, sujets que j’ai pu aborder avec le Consul des Comores, les Mahorais seront condamnés à vivre au milieu de gangs criminels et de délinquants étrangers.

Les Mahorais le savent, seuls Marine Le Pen et Jordan Bardella ont non seulement la volonté, mais également le courage de mettre un terme à cette criminalité qui pourrit leur quotidien.

Remettre la France en ordre, slogan de campagne de Marine Le Pen, ne doit pas rester qu’un simple slogan, mais doit être une priorité absolue.

André Rougé

Communiqué

09 avril 2024

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