Edito de Steeve Briois (02.05.14), Secrétaire Général du Front National
Notre traditionnel défilé du 1er mai, à l’issue duquel notre présidente et candidate aux élections européennes, Marine Le Pen, a prononcé son discours, aura montré cette année encore notre foi en la France et en son peuple, autant que nos convictions, qu’une pluie diluvienne n’aura pas pu ébranler.
Ce 1er mai était plus que les autres l’occasion de rappeler l’urgence de rendre à notre pays sa souveraineté et la maîtrise de son destin.
Notre amour de la France n’est pas une haine de l’Europe, mais bien une défiance envers une institution confiscatoire du pouvoir réel, lointaine de la réalité vécue par les peuples. Vouloir une France libre et souveraine, c'est aimer chaque pays européen, pour son indépendance, pour ses spécificités culturelles, pour la libre détermination de son avenir. L'Union Européenne dans son esprit actuel, c'est l'uniformisation des peuples et des patries, la négation de leurs droits et de leur histoire.
En ce jour de fête du travail et à 3 semaines d’un scrutin majeur, il était nécessaire de rappeler le rôle néfaste des technocrates de Bruxelles. Car c’est leur Europe qui impose l’austérité, la casse sociale et les objectifs de rentabilité des services publics.
Le 25 mai, les Français devront prouver, comme ils l’ont fait en mai 2005, qu’ils veulent une autre Europe, une Europe des nations et des peuples souverains, une Europe des patriotes, une Europe humaine et sociale !
