À quelques jours d'intervalle, la France apprend avec horreur le meurtre de trois de ses fils. À Châteauroux, le jeune Matisse, quinze ans, vient d'être poignardé par un afghan préalablement mis en examen. À Mayotte, un jeune de vingt-et-un ans vient d'être tué par balle par un Comorien, et un autre d’une vingtaine d’années a été retrouvé égorgé sur une plage.
Partout en France, en métropole comme dans l'outre-mer, une violence criminelle confinant à la barbarie peut désormais s'abattre sur n'importe quel de nos concitoyens. La France vit désormais un véritable ensauvagement sans qu’il n’y ait de réaction notable et significative de la part du gouvernement.
Ce gouvernement, si prompt à communiquer, à faire la tournée des plateaux télévisés et des départements ultramarins, ferait mieux d'agir, au bénéfice des Français et de leur sécurité.
Est-il utile de rappeler que la première des missions est d’assurer la sécurité de ses concitoyens ?
Quand le gouvernement prendra t’il conscience de la déshérence entamée d’une partie de la jeunesse de France ?
Sacrifier la jeunesse française revient à sacrifier l’avenir de notre pays, déjà confronté à de multiples défis et périls.
Le Premier ministre, Gabriel Attal, également ministre délégué aux caméras, pense que des cours d’empathie, et des internats sur la base du volontariat durant quinze jours pour des jeunes à la dérive seraient une réponse efficace et puissante.
Mais de qui se moque ce gouvernement ?
Marine Le Pen et Jordan Bardella dénoncent, depuis des années, l’ensauvagement de la société française et la montée de la criminalité qui n’est pas un ”sentiment d’insécurité” sic Dupont-Moretti mais une réalité de plus en plus prégnante.
Rétablissement des peines planchers, expulsion des délinquants étrangers, déchéance de la nationalité pour les binationaux condamnés, abaissement de la majorité pénale à seize ans... Le Rassemblement National est le seul parti politique en France capable de restaurer l’autorité de l’État avec une volonté politique et une fermeté qui manquent cruellement à nos dirigeants.
Il est grand temps que le peuple français soit respecté dans son pays, puisse vivre en paix sans avoir constamment la peur au ventre.
J’invite nos compatriotes français, de métropole comme d’outre-mer, à envoyer un signal fort au gouvernement le 8 juin aux Antilles et le 9 juin dans le reste du territoire français en votant massivement pour la liste menée par Jordan Bardella.
