En ce 1er octobre 2024, l’État, défaillant dans le premier de ses devoirs, la protection des personnes et des biens, n’est plus capable d’assurer la sécurité des Français sur leur propre sol. En moins d’une semaine, nous aurons vécu :
- Assassinat d’une Française de 19 ans par un ressortissant étranger sous OQTF et déjà connu pour viol ;
- Mort d’un Français de 17 ans poignardé à la sortie d’une discothèque dans le Calvados ;
- Mort d’un Français par balles à Saint-Laurent du Maroni en Guyane ;
- Mort d’un lycéen tué dans une rixe à Mayotte ;
- Fusillade à Marseille, deux morts ;
- Attaque de plusieurs terrasses de restaurants à Bordeaux par des hommes cagoulés avec machettes ;
- Prise d’otage de surveillants de prison lors d’une mutinerie à Mayotte ;
- Violences urbaines et pillages en Martinique ;
- Couvre-feu dans certaines communes de Guadeloupe;-Regain des violences en Nouvelle-Calédonie.
Si les récentes déclarations du nouveau ministre de l’Intérieur consacrent la justesse des constats de Marine Le Pen, les Français attendent maintenant du gouvernement des actes et notamment une réforme profonde et rapide de la réponse pénale.