Aurore Bergé, ministre déléguée chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes, vient d’annoncer la création d’une « coalition » de 12 associations chargées de signaler les « contenus haineux » à l’Arcom. Parmi elles : SOS Racisme, la Licra, le Planning familial, Osez le féminisme, SOS Homophobie ou encore le CRIF.
Alors que les services publics s’effondrent, que la France est le pays le plus taxé de l’OCDE, le gouvernement souhaite que des associations militantes, non représentatives et communautaires assurent une mission de surveillance des opinions sur internet.
Ces associations subventionnées depuis toujours sont sur-politisées et systématiquement engagées contre le Rassemblement National.
Pour la quasi-totalité d’entre elles, elles ont pris publiquement position contre notre mouvement appelant à faire barrage lors des dernières élections, certaines allant même jusqu’à qualifier notre éventuelle arrivée au pouvoir de « menace pour la démocratie ».
Ce sont pourtant ces structures loin d’être politiquement neutres que le gouvernement choisit de mandater pour surveiller les contenus sur internet. Pire encore : elles sont largement financées par des subventions publiques. Autrement dit, c’est avec l’argent des contribuables que le gouvernement organise aujourd’hui la censure de ceux qui ne pensent pas comme le pouvoir en place.
Après les pressions contre certaines chaînes comme C8 ou CNews, après les tentatives répétées de restreindre l’expression libre de ses opposants, le gouvernement franchit une étape supplémentaire : externaliser la censure à des associations militantes, sans garanties d’objectivité ni de neutralité.
Cette dérive est une menace directe pour la liberté d’expression, le débat démocratique et le pluralisme.
1️⃣ Nous refusons que des militants politiques soient chargés de dire ce qui est acceptable ou non sur internet ;
2️⃣ Nous refusons que des opinions soient surveillées ou censurées au nom de critères idéologiques ;
3️⃣ Nous refusons que les Français financent, malgré eux, la mise au pas des voix critiques.
Ensemble disons non à la censure sous-traitée ; oui à la liberté d’expression.
Signez cette pétition pour exiger l’abandon immédiat de cette coalition idéologique.