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Pétition

Pour la privatisation de l’audiovisuel public.

La Cour des comptes vient de tirer la sonnette d’alarme : France Télévisions affiche un déficit record de 40 millions d’euros.

Cette situation financière critique est le résultat d’une gestion catastrophique :

  • Des primes et indemnités délirantes,
  • Des millions d’euros dépensés en frais de taxis,
  • Des statuts rigides et coûteux, sans justification.

Le tout entièrement financé par les impôts des Français !

Alors que nos finances publiques connaissent une grave crise, il y a plus que jamais urgence à mettre un terme à cette situation. Les Français, peuple le plus fiscalisé au monde, n'ont pas à verser des milliards, chaque année, pour financer le train de vie dispendieux de cette institution d'un autre temps.

Mais derrière cette dérive financière, il y a surtout une grave dérive sectaire.

Delphine Ernotte, la présidente de France Télévisions, a ainsi récemment qualifié C News, dans un entretien au journal Le Monde, de « chaîne d’extrême-droite ».

Ce propos partisan, tenu par la première responsable de l’audiovisuel public, est une rupture claire avec le devoir de neutralité qui incombe à sa fonction.

Ce n’est pas un dérapage isolé mais la confirmation d’un système verrouillé, militant, où l'hégémonie de la gauche est totale.

Le scandale récemment révélé par le journal L’Incorrect est une autre illustration de cette infamie :

Dans une vidéo accablante, Thomas Legrand et Patrick Cohen, deux figures de France Inter, se trouvent aux côtés de deux cadres du Parti socialiste, Pierre Jouvet (secrétaire général du PS) et Luc Broussy (président du conseil national du PS), en pleine discussion politique.

On y entend très clairement Thomas Legrand déclarer :

« Nous, on fait ce qu’il faut pour Dati, Patrick (Cohen) et moi. »

Une phrase qui lève le voile sur une réalité connue de longue date : l’audiovisuel public n’est plus un service public d’information, mais une caisse de résonance au service d’une idéologie et d’un camp politique.

Cette affaire est un scandale démocratique, elle apporte la preuve supplémentaire que certains journalistes utilisent cette tribune pour faire avancer un agenda politique.

Pendant ce temps, l’Arcom est restée muette. Toujours prompte à brandir des sanctions contre les voix dissidentes, elle reste silencieuse quand les dérives viennent de France Inter ou de l’audiovisuel public. Son silence confirme ce que tant de Français ressentent : deux poids, deux mesures, dès lors qu’il s’agit du service public et de la gauche.

Il est urgent de mettre fin à cette dérive et de reprendre le contrôle :

Il est urgent d’ouvrir le chantier de la privatisation de l’audiovisuel public ;
✅ Il doit cesser d’être un bastion idéologique financé par les impôts des Français ;
✅ Les Français ne doivent plus être contraints de payer pour un service public qui a trahi sa mission de neutralité, de pluralité et d’impartialité.

Signez cette pétition pour soutenir l’ouverture du débat national sur la privatisation de l’audiovisuel public et refuser de continuer à financer, avec vos impôts, un service public devenu la voix d’un seul camp.

Signez !

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