M. Bruno Bilde interroge M. le ministre d'État, ministre de l'Intérieur, sur le détournement des aides sociales par des « réfugiés » qui partiraient en vacances dans leur pays d’origine.
En effet, en septembre 2016, l’hebdomadaire allemand Die Welt am Sonntag avait révélé une étude selon laquelle les migrants ayant reçu un permis de séjour en Allemagne et bénéficiaires d’allocations, principalement originaires de Syrie, du Liban et d'Afghanistan, passeraient souvent leurs vacances dans les pays qu’ils ont quittés. Ces révélations avaient pu remettre en cause les prétendues motivations de départ de centaines de milliers de faux réfugiés de guerre.
Il semblerait que de nombreux cas similaires existent en France avec le même détournement de procédure et la même utilisation des prestations sociales. Ce scandale confirme que nous sommes essentiellement confrontés à une immigration économique et à des individus qui cherchent à profiter des avantages, subsides et même « congés payés » octroyés par l’Etat français.
Alors que l’immigration massive pèse lourdement sur nos finances publiques avec notamment l’entretien d’hypothétiques mineurs isolés ou encore l’aide médicale d’Etat, il est urgent de diligenter des enquêtes dans les centres d’accueil de demandeurs d’asile et le cas échéant de réexaminer le statut des personnes qui ne seraient pas réellement menacées dans leur pays d’origine.
Alors que 22 millions de Français dont 3 millions d’enfants ne peuvent pas partir en vacances, il serait inacceptable que l’Etat finance avec l’argent du contribuable les voyages d’agrément des migrants.
La France n’est pas un hôtel ou une agence de voyage !