Mes chers compatriotes,
Françaises et Français de métropole,
Françaises et Français de nos magnifiques territoires d’outre-mer,
Français et françaises installés de par le monde,
Mes chers amis,
J’ai souhaité cette année en défilant avec eux et en les invitant sur cette tribune mettre à l’honneur nos 62 conseillers départementaux, élus grâce à l’incroyable dynamique qui porte notre mouvement et qui lui a permis d’obtenir un résultat historique dans le cadre d’élection locale : 25, 87 % des suffrages et même 26, 51 % dans les 1912 cantons où nous étions représentés.
Permettez-moi, à travers eux, de saluer en votre nom toutes celles et ceux, candidats valeureux qui ont fièrement porté les couleurs du FN et du RBM au cours de la campagne départementale, en partenariat avec nos amis du SIEL.
Ces nouveaux élus rejoignent nos conseillers régionaux, nos parlementaires nationaux, nos maires, nos 2 sénateurs élus brillamment en septembre, conseillers municipaux et nos 23 députés européens élus eux le 25 mai dernier grâce, là encore, à un score historique faisant du FN le 1er parti de France aux élections nationales et aux élections locales.
Notre mouvement s’enracine, s’implante à des niveaux inégalés.
Ces élus sont les vôtres, peuple de France.
Ils portent vos aspirations, défendent vos intérêts et ceux supérieurs de notre patrie.
Ils seront suivis de bien d’autres élus, d’autres victoires nous attendent, de grandes et belles victoires, évidemment en premier lieu lors des élections régionales de décembre prochain.
La seule véritable opposition au système UMPS a pris son envol et rien ne pourra l’arrêter car notre combat est noble, notre cause est juste et donc notre victoire est inéluctable.
Chers amis, en ce 1er mai, nous fêtons la France éternelle et le Travail. Deux notions menacées d’extinction par nos pseudo élites qui se sont jurées de les détruire pour réaliser leurs funestes projets.
La France n’est éternelle que par la transmission et la glorification de son histoire.
Elle n’est éternelle que par le labeur des hommes et des femmes qui ont décidé de partager un destin commun, dans le respect de ses valeurs et de son identité, pour poursuivre l’œuvre millénaire de leurs ancêtres. L’âme de la France réside en chacun de nous.
Elle nous a été transmise par nos parents et grands-parents, par nos professeurs au sein de l’Ecole républicaine, par les pages des encyclopédies et les pierres de nos monuments.
Mais aussi par la féérie de nos paysages et la force spirituelle de nos églises aujourd’hui la cible des attentats islamistes.
Mais cette transmission n’a été possible que par le courage et le sacrifice de ceux qui, au cours des âges, se sont levés pour défendre et préserver notre Nation.
L’Histoire de France permet de transmettre les principes supérieurs de notre peuple, les traditions, les exemples de ses héros qui ont inspiré et fait rêvé des générations entières de petits français.
Aimer la France, c’est aimer son histoire.
C’est en accepter les paradoxes et les permanences.
C’est marcher dans les pas de ses grands hommes, c’est vibrer au récit de ses victoires et endurer l’amer souvenir de ses heures difficiles ou sombres.
C’est se sentir l’héritier d’un grand peuple, un citoyen unique au monde dont la voix singulière se fait entendre dans le concert des nations.
Nos élites amnésiques ont oublié notre histoire comme elles ont oublié le peuple français.
Elles ne veulent plus de cet héritage et n’ont de cesse de le souiller, de l’affadir et de le démembrer.
N’ayant aucune prise sur le présent, faute de vouloir construire l’avenir, nos piètres dirigeants récupèrent l’histoire pour l’instrumentaliser et transformer leur politique en propagande mémorielle antipatriotique. La funeste réforme de Mme Najat Vallaud-Belkacem en est un symbole effrayant.
La caste politique n’assume plus notre grandeur qui fait de l’ombre à sa médiocrité.
L’Union européenne, elle, agite ses marionnettes et encourage ces renoncements pour briser les identités et les fiertés nationales.
Non contente d’effacer les nations et les frontières des manuels de géographie, la technocratie bruxelloise entend progressivement les faire disparaître des livres d’histoire. Fini l’avant ou l’après Jésus Christ comme repère universel de la course du temps, nous aurons désormais l’avant ou l’après Maastricht, date symbole du nouvel ordre continental instauré par l’Eurodictature.
Pour ces destructeurs de mémoire, l’Histoire de France, jugée trop glorieuse, est à repenser, à redéfinir, à réécrire.
Cette repentance institutionnalisée ne date pas d’hier et gangrène régulièrement le débat public.
Quand l’Education nationale retire Clovis, Louis XIV et Napoléon des programmes scolaires, le projet est clair.
De la loi Taubira de 2001 au lamentable voyage mémoriel à Sétif de la semaine dernière, tout est fait pour réécrire notre passé avec une plume coupable et mensongère.
N’en déplaise aux manipulateurs qui nous dirigent, le Front National célèbre aujourd’hui Jeanne d’Arc et avec elle la France libre, indépendante et souveraine. La repentance aveugle de la caste politique la conduira peut-être un jour à déboulonner sa statue équestre au nom de l’amitié franco-britannique. Avec eux, nous ne sommes à l’abri de rien…
Invoquer Jeanne d’Arc, c’est se souvenir de la plus extraordinaire héroïne de notre roman national.
Si le Front National met à l’honneur la Pucelle d’Orléans chaque année, c’est qu’elle représente tous les principes que nous défendons ardemment.
L’amour de la patrie, l’esprit de résistance, l’indépendance de la France, la soif de liberté, la défense de l’identité et de la sécurité des Français, le rassemblement des forces nationales.
Il n’y a qu’à regarder le monde hostile dans lequel nous évoluons pour noter que ces principes sont toujours d’actualité.
Jeanne d’Arc est apparue quand la France était à genoux.
Aujourd’hui, le peuple de France est confronté au terrorisme islamiste, au chômage de masse, à la pauvreté, à l’immigration massive et incontrôlée, à la gangrène du communautarisme,…
Livrée à l’étranger par une partie de la haute noblesse, la France sera sauvée par une enfant du peuple. A celui qui n’a rien, la Patrie est son seul bien disait Jaurès.
L’histoire de notre pays nous enseigne que les trahisons viennent d’en haut quand le peuple, lui, ne fait jamais défaut.
Là où des généraux aguerris ont tous échoué, une jeune bergère de 17 ans va accomplir en 5 mois le miracle du redressement national.
Jeanne d’Arc est une icône française car elle symbolise à elle seule, l’esprit de résistance, la foi en son pays et le triomphe de la volonté…
Près de 6 siècles plus tard, ses exploits résonnent encore et son souvenir reste impérissable car il tutoie la légende et le merveilleux.
Commémorer Jeanne d’Arc, ce n’est pas seulement célébrer la victoire sur les Anglais lors de la Guerre de Cent Ans, que des générations d’écoliers apprirent par cœur quand l’histoire de France trônait encore dans les manuels scolaires…
Commémorer Jeanne d’Arc, c’est fêter la Nation, c’est défendre notre communauté nationale. Qu’est ce que la France sans les femmes et les hommes qui décident de s’associer pour la bâtir ensemble ? La Nation est le lien qui nous unit, nous définit, il nous rend plus fort dans un monde hostile.
Se souvenir de Jeanne d’Arc c’est se rappeler qui nous sommes et d’où nous venons. Fiers de notre identité, rassemblés autour de notre drapeau, de nos valeurs et de notre histoire, nous affronterons les défis de demain.
Au Front National, nous aimons Jeanne d’Arc parce que c’est une héroïne qui n’a pas accepté le fatalisme de sa condition. Elle a dépassé le cadre établi de son sexe, de sa modeste naissance, pour mener à bien sa mission.
Nul besoin de grotesque théorie du genre pour se couper les cheveux et revêtir l’habit viril. Elle n’avait pas attendu l’égalitarisme des sexes pour monter à cheval et manier l’épée. Elle n’avait pas espéré la parité pour commander aux hommes et prendre la direction d’une armée. Elle n’avait pas attendu la libération de la femme pour donner sa vie à la libération de la France.
Quel exemple pour toutes les femmes de France ! Quel modèle pour toutes les femmes du monde !
A l’instar de Jeanne, nombreuses sont les femmes illustres qui ont marqué le roman national de leur empreinte. Si la France s’est faite à coups d’épée, les femmes, elles aussi, ont pris leur part pour influer sur la destinée de notre Nation.
Ainsi, Geneviève, sainte patronne de Paris, qui organisa la résistance de la cité face aux hordes d’Attila, Clotilde qui permit à la France d’embrasser la foi chrétienne en convainquant son mari Clovis de se faire baptiser.
Ou encore, Jeanne Hachette qui combattit aux côtés de femmes de Beauvais contre les Bourguignons de Charles le Téméraire.
Je n’oublie pas Christine de Pisan, première femme écrivain française à vivre uniquement de sa plume ou Marie de France, auteur de fables, dont s’est largement inspiré Jean de la Fontaine.
La célèbre Olympe de Gouge, première française à demander des droits politiques pour la seconde moitié de l’humanité.
« La femme a le droit de monter sur l’échafaud ; elle doit avoir également le droit de monter à la tribune ».
Camille Claudel, Marie Curie, et bien d’autres, la France est un des rares pays du monde où les grandes figures féminines partagent aussi évidemment avec les figures masculines, les pages de notre roman national.
C’est peut être la raison pour laquelle les mots les plus vibrants de notre belle langue sont tous féminins : France, Patrie, Nation, Liberté, Famille…
Une nouvelle fois donc, nous remercions Jeanne de notre liberté et du sacrifice consenti, en rendant hommage à la Sainte, la bergère, la guerrière, la patriote, mais aussi la femme qu’elle n’a pas eu le temps de devenir ayant sacrifié sa vie à l’âge de 19 ans- et une fois n’est pas coutume, en rendant hommage à toutes les femmes célèbres ou anonymes qui ont combattu ou œuvré au fil des siècles pour que la France soit et reste ce grand et beau pays.
L’occasion est trop belle pour ne pas, aujourd’hui, rendre hommage aussi à travers elles à toutes les femmes de France qui, aujourd’hui, se lèvent pour continuer ce combat lumineux de la transmission et de l’amour de la Nation, souvent avec discrétion mais toujours avec détermination.
Fils et filles de France, ne minimisez ni votre courage, ni votre influence. Prenez exemple sur la petite bergère qui, portée par sa foi fervente en la France, a accompli des miracles.
Elle n’avait ni naissance, ni fortune, ni moyens mais elle était la France, comme vous l’êtes chacun d’entre vous aujourd’hui.
Dans les moments difficiles que traverse notre pays, confrontés à un système qui nous a pris pour cible, souvent votre résistance est héroïque.
Héroïques, ces chômeurs qui, malgré la situation économique, se battent pour retrouver un emploi avec l’énergie du désespoir.
Héroïques, ces artisans, commerçants, patrons de TPE / PME- PMI, qui luttent pour maintenir à flots leurs entreprises contre le rouleau compresseur des normes, des charges, des impôts, de ce RSI captateur, des multiples tracasseries d’une administration qui les traitent trop souvent comme des numéros à l’abattoir économique.
Héroïques, ces retraités qui voient une vie de travail parfois commencée à 14 ans, se terminer par une retraite de misère, une vieillesse de privations.
Héroïques, ces salariés français qui continuent à créer de la richesse et à élever leurs entreprises malgré la concurrence internationale déloyale, malgré la guerre menée par la grande finance à l’économie réelle.
Héroïques, ces familles adeptes du système D pour élever correctement leurs enfants et qui déploient des trésors d’attention pour préserver leurs petits des dangers de notre société : agressions, drogues, violences, déculturation.
Héroïques aussi ces fonctionnaires qui croient encore en l’Etat et qui, du personnel pénitenciers aux guichetiers de nos administrations en passant par les professeurs ou le personnel de santé, sont quotidiennement en butte à l’agressivité, aux revendications de ceux que le système traite avec complaisance alors que des millions de français ne reçoivent plus le service au public et la solidarité auxquels ils devraient avoir droit.
Héroïques ces militaires sommés de faire toujours plus avec toujours moins, ces travailleurs mis en concurrence injustement avec le monde entier,
ces victimes des criminels et des délinquants à qui l’ont ne rend jamais justice.
Héroïques enfin ceux qui n’ont déjà plus rien et à qui la caste politique donne des leçons de morale en les sommant de partager ce qu’ils n’ont pas avec des migrants venus du monde entier attirés par une protection sociale dont les Français sont progressivement privés.
Oui, vous êtes Français, des héros de la vie quotidienne qui gardez calme et courtoisie quand tout vous pousse à la colère, qui continuez à avancer, à vous battre quand tout est fait pour vous démoraliser, qui subissez l’injustice, le mépris, l’abandon de la part même de ceux qui vous doivent protection et affection, nos dirigeants politiques.
Je reconnais bien là le peuple français si solide tout compte fait, si généreux souvent au détriment de lui-même.
Mais la patience ne doit pas devenir de la résignation, car malgré les promesses des uns et des autres, rien n’a été fait pour vous depuis des décennies.
Bien au contraire.
Il n’aura échappé à aucun français attaché au devenir de notre pays que les choses s’accélèrent, s’aggravent vite.
Et chaque jour confirme nos analyses.
Nous avons eu raison sur tout, absolument tout.
Oh ! Nous n’en tirons aucune gloire bien sûr mais cela relativise tout de même la violence des attaques dont nous sommes l’objet, ou peut-être cela justifie-t-il la violence de ces attaques ?
Coupables encore et toujours d’avoir eu raison.
Coupables de n’avoir, à la différence de l’UMPS, aucune responsabilité d’aucune sorte dans les malheurs qui frappent notre pays.
Je ne souhaite pas être dans le commentaire de l’actualité immédiate.
Je me méfie de ce temps court, de ce rythme ultra rapide que l’on inflige à la vie publique, profitant de chaque événement pour chasser le précédent, pour faire de la vie publique un espace plat, sans relief, sans dimension, où tout se vaut, et où tout s’oublie aussi vite qu’il arrive.
Cette recherche du buzz permanent me dégoûte, comme elle dégoûte les Français et je m'en extrais avec délectation et gravité !
Il faut savoir prendre la hauteur nécessaire. Et analyser les événements qui frappent notre pays à la lumière du temps plus long, celui dans lequel s’inscrivent les conséquences des décisions politiques qui sont prises.
C’est mon rôle de chef politique.
Dans tous les domaines, tous sans exception, l’échec est total, l’échec est global, ni les coups de menton, ni les envolées pseudo lyriques, ni l’agitation compulsive, ni les diversions et autres enfumages, ne peuvent plus cacher cette cruelle réalité.
Nos dirigeants sont désemparés, inactifs, incapables.
C’est fini, ils ne peuvent plus rien, ils ne font plus rien.
UMP après PS, PS après UMP, ils semblent n’avoir plus aucune prise sur les choses, ils laissent tout filer et de fait la France est hors contrôle, immigration, dette, déficit, mondialisation sauvage, politique pénale, impôts, école, santé, frontières, indicateurs économiques.
La France est hors contrôle, économiquement, socialement, c’est la bérézina.
Notre pays a été aspiré dans le trou noir de l’austérité sans fin, de la compétition économique déloyale, du laisser faire, laisser passer imposé par une Union européenne à laquelle vous aviez, il y a 10 ans, dis non !
Le 29 mai prochain, nous célèbrerons le 10e anniversaire du rejet franc et massif du fédéralisme européen par les Français.
Le 29 mai 2005, le peuple Français à 55% envoyait un formidable camouflet aux élites parisiennes et bruxelloises en votant NON au traité sur le projet de constitution européenne.
Cela fait donc 10 ans que la volonté du peuple français a été bafouée, 10 ans que son cri de révolte a été étouffé.
Et depuis nous subissons chantages, menaces et ordres venant de cette eurodictature soutenue servilement par les petits télégraphistes de droite et de gauche UMP / PS / Modem / UDI / Verts / Front de gauche, tous reprennent en chœur les injonctions de l’Union européenne et qu’ordonne-t-elle cette Europe ?
Elle ordonne tout d'abord qu'on maintienne coûte que coûte la monnaie unique.
L'euro n'est pas adapté à notre économie, l'euro nous plombe, l'euro détruit des emplois. Mais qu'à cela ne tienne !
Maintenant ils le savent, et même ils le disent ! Il en aura fallu du temps pour qu'ils admettent l'échec total de l'euro, mais nous y sommes maintenant. Leur réponse : l'euro est un échec mais il faut tout sacrifier à l'euro. Car c'est un veau d'or ! Et les dirigeants européens sont des idolâtres.
L'axiome des européistes n'est plus "une monnaie au service de l'économie", mais "une économie au service de la monnaie". On marche sur la tête.
Et quand on marche trop sur la tête, le cerveau commence à en prendre un coup : alors ils se mettent à divaguer, à prédire le chaos en cas de fin, même parfaitement organisée, de l'euro, à prophétiser les dix plaies d'Egypte. Ils étaient des idolâtres, ils deviennent des illuminés. Et l'Europe, encore et toujours, nous entraîne dans sa folie.
L'Europe, elle ordonne aussi qu'on applique des politiques d'austérité. Dès que le gouvernement présente une feuille de route à Bruxelles, Bruxelles demande de nouvelles coupes budgétaires. Et le gouvernement s'exécute.
Ce manège recommence chaque année. Et chaque année, les impôts, dans le privé comme dans le public, comme pour nos retraités, continuent d'augmenter, les petites entreprises continuent d'étouffer, le patrimoine de l'Etat, celui des Français acquis génération après génération, continue d'être dilapidé.
Et chaque année, l'objectif affiché des politiques d'austérité n'est pas atteint : chaque année, la dette grossit encore. L'austérité est non seulement inefficace, mais elle est aussi dangereuse.
L'Europe, elle ordonne encore que l'on saccage les services publics, au nom de la sacro-sainte "concurrence libre et non faussée". Il faut privatiser à tout va.
En réalité, on privatise les profits, mais pas les pertes. Et au bout, ce sont les usagers qui trinquent. Après les autoroutes, après le gaz et l'électricité, après France Télécom, on veut privatiser la SNCF.
On fait croire que la fameuse concurrence libre et non faussée permettra de faire baisser les prix.
Mais les prix du gaz et de l'électricité ont-ils baissé alors même que l'Etat cédait des parts d'EDF et de GDF, ou plutôt "Engie" pardon, car la loi du marché mondialisé oblige à défranciser tous les noms au profil du globish anglo-saxon ? Non bien sûr, au contraire !
Quand les fleurons nationaux passent sous capitaux internationaux, Alstom, Lafarge, Alcatel en quelques mois, ce n'est plus l'intérêt du peuple, mais l'intérêt des gros actionnaires, qui est recherché.
Et bientôt, qui sait, on en viendra peut-être à privatiser la santé ? ça a déjà commencé via la destruction de l'hôpital public, puis à privatiser totalement l'éducation, la justice aussi au bénéfice de l’arbitrage chère à leur maitre américain, et l’armée demain ?
Cela vous semble impensable ? Mais détrompez-vous, cela a même déjà commencé !
La loi Macron, cette loi fourre-tout incompréhensible, cache bien des surprises, comme par exemple ce petit joyau : un amendement prévoit que l'Etat va vendre notre matériel militaire à des sociétés privées, puis qu'il va relouer ce même matériel qu'il a vendu !
Comment expliquer cette absurdité complète ? C'est simple ! Il fallait tenter de boucher les trous du budget 2015, pour obéir aux ordres de Bruxelles !
Et attendez, ce n'est pas fini ! Ca va même continuer pour le budget 2016 ! C'est encore Monsieur Macron qui vient aujourd'hui nous dire qu'il va falloir couper dans le budget de la santé et de l'enseignement supérieur.
Finis les remboursements des attelles et des fauteuils roulants, ça fait partie de leurs dernières trouvailles, finis les APL pour les classes moyennes qui ont du mal à boucler les fins de mois.
Au ministère de l'économie, on planche déjà sur les moyens futurs de réduire encore un peu plus la solidarité nationale,. Tout doit disparaître, car le trou noir de l’Union européenne avale tout.
Et en parallèle, car on le sait l'austérité est une lame à double tranchant, on accable les ménage et les entreprises d'impôts et de taxes. Voyez comme nos indépendants crèvent littéralement du RSI, cette usine à gaz mise en place par Nicolas Sarkozy en 2008, et que nous devrons remettre à plat, pour permettre l'émergence d'une protection sociale des indépendants plus juste et surtout beaucoup moins lourde.
On le voit partout : l'Europe ordonne, le gouvernement s'exécute. Et rien ne s'arrange. On peut même dire avec certitude que tout empire.
Les entreprises ferment jour après jour, le chômage augmente mois après mois, la dette grossit année après année. Il faut briser ce cercle vicieux. Et pour cela, il n'y a pas 36 solutions : il faut rompre avec les politiques européennes. Il faut retrouver notre souveraineté monétaire et budgétaire, pour pouvoir redresser notre balance commerciale, pour pouvoir diminuer la pression fiscale, pour pouvoir redonner des armes à nos entreprises.
La souveraineté c'est donc le pouvoir ! Le pouvoir d'être et le pouvoir de faire et aussi le pouvoir de défaire !
Et je crois sincèrement que les Français ont compris, quant au système, il a compris que les Français ont compris.
Alors, parce qu’il se sent plus que jamais menacé, le système se braque, il se raidit, continue dans sa course folle, ne se retourne plus jamais, n’écoute plus personne, ne cherche plus aucune porte de sortie.
Il va plus loin encore dans ce saccage délirant, et dans le même temps, il va plus loin encore dans ces discours de haine, ces discours fous contre le peuple.
Il va plus loin encore dans la division des Français, dans le refus du bon sens du peuple, dans l’oubli de la France !
Sachez-le, le système ne travaille plus qu’à sa survie, au risque de mettre fin à notre pays, de mettre fin à la France.
Ils n’ont que faire de cela. Ils préfèrent jouer leur survie politique. Il n’y a que ça qui compte.
Immigration, communautarisme, fondamentalisme islamiste… là encore, la France aujourd’hui est hors contrôle.
Aveuglement et impuissance ont été les seules réponses à la montée en puissance de la menace du fondamentalisme islamiste et le risque s’est réalisé.
Tous les ingrédients étaient là pourtant dans notre pays depuis bien longtemps pour fabriquer la grenade du fondamentalisme islamiste qu’ils ont dégoupillé en lançant leur imbécile campagne militaire en Lybie.
Apprentis sorciers qui ont laissé une immigration massive s’installer en France alors que nous savions qu’il n’était même plus envisageable d’assimiler des immigrés en aussi grand nombre.
Inconscients qui, dans le même temps, s’acharnent à inculquer aux enfants de l’immigration la haine de la France, le mépris de ses valeurs et de son histoire. Ils ont nourrit de manière artificielle un sentiment de revanche et même de vengeance en ressassant inlassablement leur vision déformée de notre passé, les fautes imaginaires de notre pays à leurs yeux forcément indigne, forcément coupable, forcément débiteur.
Pourquoi donc s’étonner aujourd’hui de voir certains, se comporter, alors qu’ils ont été eux ou leurs parents accueillis, comme des créanciers à qui l’on n’aurait pas remboursé une dette fantasmée.
Dirigeants maltraitants, ceux qui ont refusé d’arrêter cette immigration alors même que leur propre peuple se retrouve en butte au chômage, au mal logement, au déficit de soins, à une école à la dérive, à l’aggravation vertigineuse des déficits et de la dette, à l’effondrement de notre système de protection sociale, ou de notre système pénitentiaire.
Indignes, ceux qui ont imposé la fin du modèle d’assimilation pour lui substituer celui d’intégration et son corolaire naturel, le communautarisme, laissant progressivement s’installer l’idée que les lois de la République étaient optionnelles, négociables, que nos valeurs étaient somme toute discutables.
Qu’en France, on avait pour résumer le droit et même peut être le devoir de vivre autrement que comme des français, avec d’autres codes, d’autres mœurs, d’autres traditions, d’autres lois.
Nos élites ont organisé ou encouragé cela, cédant à toutes les revendications communautarisme, les justifiant, les anticipant même parfois avec zèle pour peu qu’elles leurs permettent quelques gains électoraux le moment venu : menus de substitution, horaires de substitution, programme scolaire de substitution, jours fériés de substitution et demain, loi de substitution, culture de substitution.
Ils ont cherché à discréditer et à réduire au silence ceux qui avaient vu et annoncer la catastrophe.
En traitant d’islamophobes, tous ceux qui avaient le malheur de réclamer le respect de la laïcité mais aussi du bon sens, le respect de nos lois et de notre mode de vie, de nos principes d’unité, de méritocratie, le respect de notre culture, de notre identité ;
En faisant cela, nos dirigeants n’ont pas seulement laissé faire, ils ont organisé, aidé, soutenu le chaos actuel.
Alors que les choses soient claires.
Nous ne combattons la religion de personne en France.
Nous combattons le fondamentalisme islamiste !
Le dire permet de voir où sont nos ennemis, où sont leurs complices.
Car ceux sont eux qui ont dégoupillé la grenade.
L’État islamique n’a pas surgi de nulle part.
L’État islamique est né en Irak plongé dans l’anarchie par Bush, père et fils.
Nicolas Sarkozy n’a-t-il pas applaudi à ces interventions, ne les a-t-il pas souhaitées ardemment, bruyamment ?
L’État islamique a pris pied en Libye.
Nicolas Sarkozy, Alain Juppé et leur ami BHL n’ont-ils pas provoqué le chaos dans ce pays, soutenus par le PS de Monsieur Hollande, plaçant au pouvoir les fondamentalistes dont le premier acte fut d’instaurer la charia?
L’État islamique s’est étendu en Syrie.
François Hollande n’a-t-il pas souhaité les aider en bombardant l’armée régulière ou en fermant les yeux sur le Qatar et l’Arabie Saoudite qui les armaient ?
Ils ont ainsi remplacé des régimes autoritaires mais laïques par des fanatiques sanguinaires qui règnent maintenant à leur place ?
Je préfère en effet le moindre mal au pire absolu.
Aveuglement disais-je.. lâcheté … et inertie totale.
Comme des lapins pris dans les phares d’une voiture face à l’explosion de la grenade, la classe politique française a été égale à elle-même, alors que le peuple s’unissait pour réaffirmer son refus du fondamentalisme islamiste et son attachement aux valeurs de liberté.
Ils ont dénaturé cet élan national, l’ont détourné de son sens premier et s’en sont servi à leur bénéfice exclusif, ce qu’il faut bien admettre, est ce qu’ils font le mieux.
La manifestation du 11 janvier s’est transformé en tentative d’exclusions de la 1ere force politique du pays, le Front National.
L’union du 11 janvier est devenue une séance de communion paranormale où un esprit « l’esprit du 11 janvier » exigeait que tout esprit (bien réel celui-là) critique disparaisse, que toute proposition d’action, toute suggestion politique, se taise et que chacun le doigt sur la couture du pantalon, soutienne l’aveuglement, la lâcheté, l’inaction et bien non !
Nous le disons haut et fort, l’UMP et le PS sont incapables de prendre les mesures pour protéger notre pays du fondamentalisme islamiste.
On nous anesthésie depuis des mois de minute de silence, en commémoration, de paroles verbales en propositions ineptes, de numéros verts contre le djihadisme en site internet « stop djihadisme.gouv.fr », de journée de la laïcité, en cellule psychologique pour les combattants revenant du djihad.
Un vrai inventaire de la bêtise ambiante, mais une bêtise criminelle !
Car il faut agir d’urgence, d’urgence ! et commencer par pointer les responsabilités politiques car nous ne sommes pas dupes de ceux qui « en parlent le plus, qui crient le plus fort, qui sont les plus outranciers, pour masquer leurs actes, leurs responsabilités ».
Qui finance les mosquées au mépris de la loi de 1905 ?
Qui achète la paix sociale en subventionnant les associations communautaristes ?
Peut-être que Christian Estrosi peut répondre à ces questions ?
Qui a supprimé douze mille postes de policiers et de gendarmes ? Nicolas Sarkozy
Qui a désorganisé le renseignement pour le mettre à son service ? Nicolas Sarkozy
Qui a réduit de 56 000 hommes les forces armées en cinq ans ? Nicolas Sarkozy
Nous ne sommes pas dupes non plus des opportunistes qui profitent de la menace islamiste pour faire passer leurs lois liberticides.
C’est évidemment le cas de Monsieur Valls.
La bonne aubaine que cette menace islamiste pour mettre en place la surveillance généralisée de tous les Français, pour écouter leurs conversations, lire leurs mails, sans aucune autorisation préalable d’un juge.
Seul Monsieur Valls décide de l’opportunité d’une écoute, de la pose de micros, de la captation de correspondances.
Avouez que ça n’est pas rassurant.
Loi anti démocratique, attentatoire aux libertés individuelles, loi de flicage généralisée et de surcroit tout à fait inutile dans la lutte contre le fondamentalisme islamiste.
Après tout, Merah, Kouachi, Coulibaly, Glam, avaient tous été détectés par les renseignements français comme des activistes radicalisés.
Ce n’est pas tant le renseignement qui échoue que le traitement du renseignement, c’est donc la réponse pénale qui, une fois encore, fait défaut.
Ce sont les ordres politiques qui manquent, c’est le constat qui est défaillant.
L’attentat de Villejuif n’a pas été déjoué par le gouvernement.
L’attentat de Villejuif a avorté parce que le terroriste s’est tiré une balle dans le pied (et ça n’est pas une image).
Une loi contre le terrorisme islamiste doit comprendre des mesures appropriées.
Rétablir des frontières et donc arrêter la libre circulation: la France a le droit de savoir qui est sur son territoire.
Revoir les conditions de l’asile afin d’éviter les risques d’infiltration.
Rendre obligatoire l’utilisation du français pour les prêches.
Expulser tout étranger qui exprime des sympathies pour l’État islamique.
Déchoir de la nationalité française tout binational parti vers l’État islamique.
Juger pour crimes ceux qui en reviennent.
Donner des moyens humains et matériels à la police et à la gendarmerie.
Rétablir le renseignement sur le terrain, dans les quartiers, et donner des suites à ces renseignements.
Augmenter le budget de la défense nationale, et non continuer de le réduire !
Faire de l’École de la République le creuset de la citoyenneté par l’exigence et l’effort.
Imposer la tolérance zéro aux revendications communautaristes ou religieuses.
Enseigner le roman national de la France dans sa gloire et sa lumière. Et non la navrante réforme du collège de Najat Valaud Belkacem, qui est à l’éducation ce que BHL est à la philosophie.
Interdire tout financement de structure cultuelle ou culturelle de pays étrangers qui soutiennent ou financent le fondamentalisme et donc il faut suspendre la construction de toute nouvelle mosquée en France car il nous faut éclaircir les conditions de leur financement.
Redéfinir totalement nos relations avec l’Arabie Saoudite et le Qatar, ces financeurs de l'islamisme.
Surveiller l’ingérence de fonds étrangers dans nos banlieues.
Développer les relations avec les pays qui luttent contre le fondamentalisme, la Russie, les Emirats Arabes Unis, l’Egypte, entre autres.
Et enfin et surtout, arrêter l’immigration.
Rappelez-vous en 2012, tous ces bienpensants de l’UMP et du PS qui s’étaient indignés lorsque j’avais eu cette interrogation pleine de bon sens « Combien de Mohamed Merah dans les bateaux, les avions, qui chaque jour arrivent en France remplis d'immigrés ? ». Oui, combien ? !
Hélas, cet avertissement qu'ils n'ont pas voulu entendre, s’est depuis cruellement vérifié.
Il y a quelques jours encore, un présumé terroriste algérien, arrivé en France grâce au regroupement familial pour suivre frauduleusement ses études dans notre pays, a voulu commettre un attentat dans une ou plusieurs églises de Villejuif !
Ce monstre en devenir, qui a très vraisemblablement assassiné de sang froid une jeune femme pleine d’avenir, ce n’est pas la France qui l’a enfanté !
Non, ce sont nos gouvernants de l’UMP et du PS qui lui ont permis de venir et, beaucoup plus grave, qui lui ont permis de rester alors qu’il était fiché et répertorié comme dangereux par nos services de renseignements ! Un scandale qui dans n’importe quel autre pays aurait entrainé la démission immédiate du ministre de l’Intérieur.
Si le communautarisme s’aggrave, c’est bien évidemment sous l'effet d'une immigration de masse continue depuis 30 ans.
Il y a d’abord l’immigration légale qui progresse à un rythme fou : 200 000 personnes par an en moyenne, déjà hier sous Nicolas Sarkozy, aujourd’hui toujours sous François Hollande.
Il y a ensuite l’immigration clandestine, qui explose littéralement et dont nous voyons ces derniers temps les conséquences les plus tragiques.
Par milliers, des hommes, des femmes et des enfants meurent chaque année en Méditerranée, poussés par des passeurs et des mafias sans scrupule, et attirés par les faux espoirs d’un eldorado qui n’existe pas, et dont la réalité potentielle s’éloigne de toute façon, à mesure qu’ils sont des centaines de milliers à affluer dans nos pays.
Ces vagues humaines de clandestins ne datent pas d’hier. En 2011 déjà, j’étais allée à Lampedusa pour alerter l’opinion publique sur ce qui m’apparaissait alors comme les prémices d’un grave danger.
Une fois de plus nous avons été tristement visionnaires, mais hélas, aucun de nos lâches dirigeants ne nous a écoutés.
Aujourd’hui, les premiers responsables de ces morts en Méditerranée, ce sont ceux qui ont créé les conditions d’une explosion de l’immigration clandestine entre l’Afrique et l’Europe, ceux qui ont jeté à terre un Etat : l’Etat libyen, et par là déstabilisé une région entière !
Ces responsables ont un nom, les rantanplan de la géopolitique : Nicolas Sarkozy et François Hollande, qui quoiqu’il dise aujourd’hui a pleinement soutenu son prédécesseur dans la guerre en Libye, cette effroyable faute, soutenue par l’ensemble des responsables politiques français à l’exception notable de vos serviteurs du Front National.
Cette guerre, inspirée à Nicolas Sarkozy par sa muse BHL assoiffée de gloire médiatique, et dont l’issue a porté au pouvoir les islamistes, a eu un résultat : le chaos.
Alors ce n’est évidemment pas de ces gens-là que viendra la réponse au problème de l’immigration massive qui s’abat physiquement sur nos côtes.
Certains pays, non soumis comme le nôtre à l’idéologie mortifère de l’ouverture totale des frontières et de la libre-circulation, ont réussi à endiguer les flots d’immigrants arrivant notamment par la mer.
Parmi ces pays, il y a l’Australie, dont l’exemple doit désormais nous inspirer. Là-bas, plus aucun bateau de clandestins n’est admis à s’amarrer. Tous les navires clandestins sont systématiquement reconduits à leurs ports d’origine.
C'est ce qu'il faut faire ici !
En outre, quiconque arrive illégalement sur le territoire australien n’a pas la moindre chance d’être un jour régularisé ; sa seule perspective : le retour dans son pays d’origine. C'est aussi ce qu'il faut faire ici !
Avec une telle politique dissuasive à l’immigration clandestine, l’Australie a réussi à mettre un terme au drame humain des « cargos de migrants ». Zéro clandestin chez elle, mais aussi et surtout zéro mort au large de ses côtes!
Alors mes amis, permettez-moi exceptionnellement quelques mots d'anglais, pour reprendre le message de nos amis Australiens aux clandestins et aux passeurs : NO WAY !
Toutes les études et sondages le disent, les Français ne veulent plus d’immigration supplémentaire- c’est pourtant clair.
Mais pendant que les Français disent « no way », nos dirigeants et leurs acolytes de l’Union européenne disent « Welcome ».
Ils se comportent au sens du droit pénal comme de véritables complices des passeurs. Ils leurs apportent aide, assistance et fourniture de moyens.
Ils viennent même de tripler ces moyens.
Or, que l’on vienne en aide à ces pauvres hères entassés par milliers dans des cargos poubelles par des esclavagistes des temps modernes, bien sûr nous soutenons cela.
Mais s’il s’agit, après ces sauvetages effectués, de les ramener sur les rives européennes, alors les passeurs sortent le champagne, et font grossir leurs profits.
Ces mêmes passeurs qui ont, maintenant compris l’effet d’aubaine, puisqu’ils appellent eux-mêmes la marine italienne lorsqu’un des bateaux qu’ils envoient part de Lybie.
Il faut donc évidemment sauver ces gens mais les ramener à leur port de départ.
Outre la reconduite systématique des navires à leurs ports, il faut rompre avec les droits exorbitants accordés aux clandestins, qui sous prétexte de demandes d’asile sont intégralement pris en charge par l’Etat.
Or le droit d’asile, que nous reconnaissons comme un droit individuel réservé aux victimes d’oppressions politiques, a été depuis longtemps détourné de son sens originel pour devenir une filière à part entière de l’immigration massive.
Son coût pour la collectivité a explosé, et il est devenu une nouvelle porte d’entrée quand on sait qu’à peine 1% des déboutés sont finalement expulsés.
Sans compter que l’Union européenne nous concocte des statuts de réfugiés climatiques, économiques, sanitaires.
Vous comprenez dans ces conditions la consternation qui est la mienne quand j’entends Monsieur Fillon, premier ministre de Sarkozy, en appeler à l’Union européenne !
Comme si cette dernière pouvait représenter la moindre solution alors qu'elle est précisément l'une des causes du problème. L’Union européenne n’est là que pour nous empêcher d’agir. Il faut cesser de croire que notre salut viendra de cette instance dictatoriale faite pour nous asservir.
L’Union européenne pousse à l’immigration massive par idéologie comme par intérêt, au service des puissances d’argent et du grand patronat qui, toujours, l’ont réclamée pour faire pression à la baisse sur les salaires.
D’ailleurs, le sinistre Monsieur Schulz, Président du parlement européen l’a déclaré la semaine dernière « nous avons besoin d’un mécanisme légal d’immigration pour les personnes souhaitant s’installer en Europe » mais ils sont des millions !
Quant à Monsieur Junker, Président de la Commission européenne, le candidat de l’UMP, il a été on ne peut plus clair : « il faut ouvrir les portes pour éviter que les migrants entrent par les fenêtres », que l’on pourrait résumer par « dans l’incapacité de faire respecter la loi, supprimer donc la loi ».
Et c’est à ceux-là que nous devrions confier notre sécurité ? Une pure folie.
Sous l’effet de cette immigration massive, multiforme, la France se disloque et nos dirigeants successifs n’en ont que faire.
Nicolas Sarkozy lui-même a ainsi finalement considéré que le thème de l’identité nationale qu'il avait soulevé était une erreur : et pour cause, sa politique, comme celle de François Hollande, n’a eu pour seul effet que de la détruire !
La situation est très grave, mes amis, nous devons la vérité aux Français.
Nous devrons donc agir par nous-mêmes, à travers les solutions que je vous ai exposées, en reprenant la maîtrise de nos politiques migratoires, ce qui suppose évidemment de sortir de l’espace Schengen et de renvoyer l’Union européenne plonger dans les abysses, à la place de ces hommes et ces femmes morts en mer, vers qui nos pensées se tournent, et qui ont le droit de vivre chez eux, comme nous chez nous !
CONCLUSION
J’aimerais pouvoir faire un autre constat et parler autrement de la situation du pays. J’aimerais surtout que mon constat et mes solutions soient entendus.
Et si j’ai parlé de la responsabilité de nos dirigeants, je dois aussi parler de la nôtre, parce qu’elle est immense aujourd’hui.
Nous n’avons plus de temps à perdre. De temps à perdre à répondre aux agressions du système UMPS. A nous perdre dans de stupides querelles ou de faux débats.
L’heure va être à l’action.
Et nous devons nous y préparer.
Nous progressons. Dans le cœur des Français, où nos idées triomphent. Dans les urnes où nous montons sans cesse. Election après élection.
Et nous avons des ambitions immenses, les Régions demain et, après-demain, la Nation nous attendent.
Alors, à l’aveuglement, à la lâcheté et à l’inertie, se substitueront la lucidité, le courage et l’action.
Ne soyez ni anxieux, ni abattus, soyez juste impatients, les forces qui montent du pays sont puissantes, comme un instinct de survie, je les crois irrésistibles.
Des obstacles se dresseront devant nous encore, la bataille politique sera âpre évidemment, rien ne nous sera épargné, c’est une certitude, ça a déjà commencé. Et je les pense capables des pires extrémités.
Mais nous triompherons de tout cela et, de ces batailles électorales, naitra une Nation libre, fière, confiante, fraternelle où il fera, à nouveau, bon vivre !
Oui, de ce combat, la France renaitra !
A ceux, enfin, qui sont parfois saisis par le doute ou par la crainte, je rappellerai ces mots de Bernanos : « L’espérance est un risque à courir. »
Vive la République !
Vive le peuple !
Vive la France !