En commission des droits des femmes, nous venons d’examiner un projet d’avis sur la réduction des inégalités et la promotion de l’inclusion sociale en temps de crise pour les enfants et leurs familles.
Si le constat du déclin dramatique du niveau de vie des familles est partagé par tous, ses causes le sont beaucoup moins... Alors que certains collègues se préoccupent exclusivement des « enfants issus de l’immigration, réfugiés, demandeurs d’asile, sans papiers et non accompagnés (...) plus durement touchés par la pauvreté », je rappelle que l’immigration massive et incontrôlée dégrade nos conditions de vie et de sécurité.
Au moment où la France se relève difficilement des dernières émeutes qui l’ont fait sombrer dans le chaos, nous ne pouvons plus nier le lien entre la violence et l’immigration massive que subit notre pays depuis des décennies. Il est temps de stopper l’immigration dérégulée qui aggrave la pauvreté sur notre continent.
J’ai également souligné la déliquescence de notre système de santé dont chacun peut constater la dégradation et la multiplication des déserts médicaux.
Pour favoriser le pouvoir d’achat des familles, j’ai déposé des amendements qui invitent les États membres à réduire leurs dépenses contraintes (énergie, alimentation, fiscalité).
J’encourage également les États membres à adopter des mesures adéquates pour restaurer la qualité de notre système éducatif.
J’ai enfin rappelé que les États membres pouvaient solliciter certains fonds européens pour soutenir les victimes de violences domestiques en leur facilitant l’accès au logement social et aux services sociaux d’accompagnement.
Si je déplore l’absence d’amendements de mes collègues français des autres groupes politiques, je les invite à voter en faveur de ces propositions qui mettent en lumière les causes de la crise actuelle.