Un jeune homme de 17 ans a été assassiné par balle à Mayotte lors d’un affrontement entre bandes rivales.
Les gangs profitent d’une atmosphère judiciaire et pénale laxiste pour faire régner la terreur en toute impunité !
Début novembre 2023, le ministre de l’intérieur et des Outre-mers Gérald Darmanin se rendait dans le 101e département Français notamment pour y évoquer la situation sécuritaire et migratoire. Puis, la semaine dernière, c’était au tour de la Première ministre de se rendre à Mayotte pour y évoquer la crise de l’eau et la criminalité.
Quid de ces déplacements ?
Quelles mesures ont annoncé ces ministres pour endiguer ce chaos ?
Depuis près de 7 ans, Emmanuel Macron et ses différents gouvernements savent pertinemment que l’île de Mayotte est confrontée à une multitude de crises sécuritaires et migratoires, entre autres.
Malheureusement, ces gouvernements successifs sont à l’image du Président de la République : des communicants incompétents et impuissants.
En juin dernier, Gérald Darmanin lançait l’opération Wuambushu. Opération censée mettre un terme au chaos sécuritaire, détruire les bidonvilles qui pullulent et entreprendre un tournant en matière migratoire.
Comme je l’avais annoncé, Wuambushu s’est révélée être un fiasco retentissant qui a mis en lumière l’amateurisme et l’inefficacité de trois ministres régaliens : M.Dupont Moretti en tant que Garde des Sceaux, Madame Colonna en sa qualité de ministre de l’Europe et des Affaires étrangères et M.Darmanin.
Les mahorais, et les français dans leur ensemble, souffrent de ces politiciens qui ne cessent de faires des annonces alléchantes mais, qui ne sont, jamais suivies d’actes concrets et fermes.
Depuis des années, Marine Le Pen, Jordan Bardella et le Rassemblement National sont, non seulement des lanceurs d’alertes sur le chaos généralisé qui sévit à Mayotte, mais également des responsables politiques qui ne cessent de faire des propositions, à commencer par l’instauration de l’état d’urgence, pour aider Mayotte et nos compatriotes mahorais.
Référendum sur l’immigration pour durcir les conditions d’accès à la nationalité et assécher les pompes aspirantes, expulsion des délinquants étrangers et bras de fer diplomatique avec l’Union des Comores qui ne cesse de déstabiliser Mayotte et d’attaquer la souveraineté française.
Le climat délétère auquel sont confrontés nos compatriotes mahorais n’est pas une fatalité. Pour espérer voir un changement politique, il faut changer les responsables politiques !
Nous sommes prêts à gouverner, nous sommes prêts à rendre à Mayotte prospérité et sécurité.
