Communiqué de Presse de Wallerand de SAINT JUST, Conseiller « Justice » de la campagne de Marine Le Pen
A la prison d'Amiens, située dans la ville, presque tous les jours, se déroulent des scènes surréalistes et indignes : des scooters bloquent la circulation aux environs du bâtiment, cela pour que les patrouilles de police ne puissent accéder. Alors d'autres scooters se rangent à côté du mur d'enceinte et parachutent librement des denrées, de l'alcool et évidemment de la drogue.
Samedi dernier, un des cyclomotoristes, cagoulé, s'est en outre arrêté devant la porte principale et a jeté un pavé, brisant la vitre. Ni la police, ni les gardiens ne peuvent faire quoi que ce soit, ils n'ont d'ailleurs pas d'instructions précises, au contraire.
Le dimanche après-midi c'est pire, il peut y avoir plus de 50 parachutes. Ces « envois » concernent aussi évidemment des téléphones portables et des armes.
Ces scènes sont le lot commun des prisons françaises. On ne les verrait pas dans les pays les plus sous-développés. Messieurs Sarkozy, Guéant et Mercier semblent se désintéresser totalement de l'état dramatique de la sécurité de notre pays.
Il est clair que Marine Le Pen, élue présidente de la République, rien de tout cela ne serait longtemps toléré. En outre, les policiers et les gardiens auraient des ordres et des instructions très nettes pour faire cesser ce qui est singulièrement inacceptable et provoque le dégoût le plus profond envers une classe politique courbée et complice.