Les mesures du gouvernement pour la Seine -St-Denis ou l'aveu d'un échec républicain

Rassemblement National

Communiqué

31 octobre 2019

Communiqué de presse du Rassemblement National

Ce jeudi, le gouvernement arrive en force dans le département de Seine-Saint-Denis pour répondre aux problématiques nombreuses que concentre ce département : insécurité, désertification médicale, problèmes de recrutement de professeurs, manque de fonctionnaires, installation massive de clandestins... Le manque de maîtrise est si considérable qu'un rapport parlementaire estimait qu'entre 10 et 30% de la population de Seine-Saint-Denis n'étaient pas comptabilisés du fait de l'afflux de clandestins.

Armé d'un plan qui ne dit pas son nom, le gouvernement prévoit avec 23 mesures de pallier les carences monumentales d'un département que bon nombre d'analystes estiment être en voie de partition.

La mesure la plus emblématique est la prime de 10.000 euros aux fonctionnaires à condition de rester au moins cinq ans en poste. Dans un contexte de démantèlement généralisé des services publics, cette mesure a le mérite de reconnaître leur caractère essentiel. Mais elle confirme également que les méthodes face aux problèmes des banlieues n'ont pas changé : injecter de l'argent à défaut d'injecter de la France.

Des objectifs de recrutement de fonctionnaires ou de personnels dans les métiers éducatifs ou à caractère sanitaires et sociaux sont louables. Mais tant que ne seront pas éliminées les causes de la fuite des fonctionnaires ou des entreprises, ces objectifs resteront des déclarations d'intention.

Pour assurer un développement à la Seine-Saint-Denis, mais également à toutes les autres zones touchées par des phénomènes similaires, il est nécessaire de régler le problème à la racine. L’État ne peut plus être défaillant sur son territoire national et se faire remplacer, soit par des caïds, soit par des islamistes qui font la loi.

Les mesures les plus urgentes pour sauver nos banlieues sont :

- application stricte de la laïcité en vue d'une assimilation, fermeture des mosquées radicales et refus du financement étranger des lieux de culte

- tolérance zéro et désarmement des banlieues

- expulsion effective des clandestins et condamnation renforcée des "marchands de sommeil" et autres exploiteurs de la misère

- suppression des aides aux parents d'enfants délinquants

- renforcement de l’assimilation républicaine par l’enseignement du français, de l’histoire et le développement des internats d’excellence

- rénovation du parc immobilier

Seul le respect des valeurs qui ont construit la France permettront de maintenir la paix et le retour de la prospérité dans nos banlieues.

Rassemblement National

Communiqué

31 octobre 2019

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