Financièrement soutenus par la France (350 millions d’EUR au titre de l'aide au développement et 150 millions d'EUR en 2019 alloués par le Président MACRON), et l’Union européenne (46 millions d’EUR) à travers l’aide au développement, voilà que le gouvernement décide de recevoir en catimini un ministre comorien qui, jouissant de sa double nationalité, n’a pas hésité à frauder les prestations sociales françaises.
Non content de percevoir des aides au développement et de renier la souveraineté française sur Mayotte, les Comores envoient comme émissaire un ministre délictueux !
Alors même que la France poursuit l’opération Wuambushu à Mayotte, le gouvernement doit faire face au comportement inacceptable des Comores qui refusent de respecter les accords signés en 2019 impliquant la récupération de leurs ressortissants et l’endiguement des flux migratoires. Rien d’étonnant pour un archipel qui considère Mayotte comme sienne. Rien d’étonnant non plus pour le gouvernement français qui privilégie la communication à l’action et la fermeté à l’égard des Comores.
La France ne peut se laisser plus longtemps marcher dessus et doit réagir avec fermeté vis-à-vis des Comores. Les caresses diplomatiques ne donnent aucun résultat au détriment de nos compatriotes mahorais, premières victimes de ces tensions.
Comme exprimé au Parlement européen ce 08 mai, j’ai solennellement demandé à la Commission européenne de faire preuve de solidarité à l’égard d’un État membre, qui plus est contributeur net, en suspendant l’aide au développement allouée aux Comores.
Le Rassemblement National, avec Marine LE PEN et Jordan BARDELLA, n’a pour seule boussole que la défense des intérêts des Français de métropole et d’outre-mer.