Mardi 13 février, le ministère des Affaires Étrangères et de la Coopération Internationale des Comores a publié un communiqué officiel provoquant une nouvelle fois la France.
Quand, la France, puissance mondiale, cessera-t-elle de se faire piétiner par un État failli et corrompu d’à peine 800 000 habitants ?
Au travers de ce communiqué, l’Union des Comores rappelle que, jamais, elle ne cessera de revendiquer Mayotte comme sienne et que, si Mayotte est dans une situation si chaotique, c’est de la faute de la France.
Où sont les ministres Gérald Darmanin et Stéphane Séjourné ?
Cette énième provocation à l’égard de la France n’est plus tolérable, n’est plus acceptable.
L’Union des Comores, en grande partie responsable de la submersion migratoire et de la criminalité qui sévissent dans le 101e département français, utilise ses propres concitoyens comme des moyens de pression en les incitant à débarquer sur les côtes mahoraises.
Comme nous le rappelons, avec Marine Le Pen et Jordan Bardella depuis des années, il est grand temps que la France soit de retour et se fasse à nouveau respecter.
Il convient, de toute urgence, d’entamer un bras de fer diplomatique d’une grande fermeté vis-à-vis des Comores et notamment de son Président Assoumani, [considéré par le doyen et porte-parole du collectif des cinq candidats à la Présidentielle comme un dictateur] en gelant les avoirs des membres de son gouvernement et en suspendant les transferts d’argent de sa diaspora.
La diplomatie ne se fait pas, contrairement à ce que pense le Président Macron, à coups de billets !
J’ai, en tant que député français au Parlement européen, demandé à plusieurs reprises à ce que l’Union Européenne suspende les aides au développement aux Comores aussi longtemps que cet État ne respectera pas la France, et la volonté des Mahorais de rester français.
Il est navrant de constater que la France, dirigée depuis des décennies par des politiciens sans vision, perde la voix si particulière qu’elle avait dans le concert des Nations.
Que nos compatriotes mahorais soient assurés que nous, élus et cadres du Rassemblement National, ne cesserons jamais de les défendre et de les considérer comme des citoyens français à part entière.