En déplacement en Nouvelle-Calédonie et après l’annonce faite par Emmanuel Macron de réunir à Paris « toutes les parties prenantes en vue de parvenir à un accord partagé », Marine Le Pen demande officiellement à ce que le RN participe à ces discussions.
Présent sur le territoire calédonien depuis les événements de 1984, ayant participé à toutes les élections locales et nationales avec des résultats importants, le RN est un interlocuteur écouté et respecté au sein de la population calédonienne.
Ayant rencontré toutes les parties, et ayant pu mesurer l’importance de la parole de Marine Le Pen auprès de tous les acteurs politiques et économiques du territoire, il apparaîtrait inconcevable de tenir le RN à l’écart de ces discussions.
Présidente du premier groupe à l’Assemblée nationale et engagée au service de ses compatriotes en Nouvelle-Calédonie depuis des décennies, Marine Le Pen propose un projet rassembleur et d’avenir qui mérite d’être entendu et discuté.
Dans ces conditions, sa présence autour de la table des négociations est une nécessité et un symbole fort de réconciliation et d’apaisement pour un avenir partagé de ce territoire.
