Après le coup de force anti-démocratique de groupuscules violents et d’activistes d’extrême gauche à la faculté de Paris Dauphine, empêchant Marine Le Pen de rencontrer et de débattre avec les étudiants, c’est une conseillère régionale Front National qui a été sauvagement agressée mardi soir à Marseille.
Alors qu’elle participait en compagnie d’un militant du Front National à un collage dans le cadre de la campagne électorale, Elisabeth Philippe a été violemment passée à tabac, ses agresseurs lui fracturant les deux mains et cassant le bras de son camarade.
Au moment où la classe politique appelle au respect de la démocratie et des libertés publiques dans les pays arabes touchés par le printemps islamiste, pas une voix ne s’est élevée pour condamner le redoublement de violences frappant les candidates et élues du Front National.
Le Front National dénonce avec la plus grande vigueur cette campagne d’exactions visant ses élus et ses militants et prévient qu’il ne se laissera pas intimider par les adversaires de la démocratie.
Il appelle les pouvoirs publics à faire respecter par tous les moyens les libertés fondamentales d’expression et de réunion inscrites dans la Déclaration universelle des Droits de l’homme.