Cas de choléra à Mayotte : protéger Mayotte pour protéger la France !

André Rougé

Communiqué

19 mars 2024

Communiqué de presse d'André Rougé

Député français au Parlement européen

Délégué national à l’Outre-mer

 

Depuis plus d’un mois, l’Union des Comores est confrontée à une épidémie de choléra sans précédent.

Un premier cas de choléra vient d’être détecté au sein du centre hospitalier de Mayotte (CHM), déjà lourdement déstabilisé par un manque de personnel et une immigration massive.

D’après l’ancien préfet de Mayotte, Thierry Suquet, le foyer de départ de cette épidémie, dans les Comores, serait dû à un bateau en provenance de Tanzanie. La situation est on ne peut plus préoccupante, car la maladie pourrait, à son tour, dévaster durablement Mayotte, étant importée par kwassa kwassa. Le cent-unième département français, déjà en proie à une pression migratoire insurmontable, source de chaos criminel et d’une fragilisation des services publics, ne pourrait pas assumer un tel choc.

Quand le gouvernement de Macron comprendra-t-il que l’immigration est un danger sécuritaire, économique et sanitaire ?

La résurgence de maladies (médiévales) disparues depuis longtemps de notre territoire est la conséquence directe d’une immigration massive et incontrôlée et d’un système de santé bien trop généreux envers le monde entier, qui constitue une réelle pompe aspirante.

Mais on ne peut reprocher aux malades de vouloir se faire soigner !

C’est pourquoi il faut instaurer un rideau de fer maritime entre Mayotte et les Comores, supprimer lesdites pompes aspirantes et décréter l’état d’urgence sécuritaire et sanitaire.

Mayotte est confrontée, depuis plus de dix ans, à une submersion migratoire d’ampleur, initialement en provenance des Comores, et concerne également, aujourd’hui, l’Afrique des Grands lacs, dont la Tanzanie, d’où proviendrait l’épidémie actuelle. Ce phénomène migratoire a transformé le cent-unième département français en une favela à ciel ouvert où règnent gangs et délinquants en tout genre.

Au Rassemblement National, nous sommes, depuis des années, des lanceurs d’alerte qui n’ont, pendant longtemps, pas été entendus par les dirigeants français.

Aujourd’hui, et depuis quelques mois, les constats dressés par le RN font l’unanimité dans la classe politique et médiatique. Au-delà des constats, les propositions portées par Marine Le Pen et Jordan Bardella requièrent un écho important dans la classe dirigeante, notamment avec l’annonce de la suppression du droit du sol par le ministre Darmanin.

Nos victoires idéologiques ne suffisent plus, il faut que le gouvernement français prenne conscience du chaos sécuritaire, sanitaire et migratoire qui sévit à Mayotte et se décide enfin à appliquer le programme de Marine Le Pen.

Marine Le Pen, Jordan Bardella et le Rassemblement National ont précisément cette volonté politique.

 

André Rougé

Communiqué

19 mars 2024

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