Communiqué de la Fédération Front National de Paris
Les dernières élections départementales ont confirmé l’adhésion massive des français au programme du Front National, désormais premier parti de France, spécialement chez les ouvriers et, en outre, chez les salariés de la fonction publique catégorie C/D.
Pourtant, certains syndicats continuent à stigmatiser les électeurs du Front National en considérant qu’il n’est pas un parti comme les autres. Il s’agit d’un véritable déni de réalité, l’élection réalisant la quintessence de l’expression démocratique. Les millions de français, qui donnent leur voix au Front National, les donneraient à un parti qui ne serait pas démocratique ? Assez d’insultes et d’anathèmes !
Ainsi, certaines directions des corps intermédiaires, normalement apolitiques, font leur part de ce sale boulot. Alors qu’un nombre très important de syndiqués votent Front National, ces directions pourchassent ceux qui se portent candidat sous les couleurs patriotiques. Pire, ils refusent la simple adhésion en posant la question de l’appartenance au FN. Un symptôme caractéristique de schizophrénie mais aussi une posture discriminante interdite par la loi.
Cette situation amène la fédération du Front National de Paris et Wallerand de Saint Just à créer un groupe de réflexion et de veille pour contrer cette chasse aux sorcières d’un autre âge. Le cercle Front Syndical, animé par Dominique Bourse-Provence, a, ainsi, pour mission de travailler à harmoniser les propositions économiques du Front National et la démarche syndicale, d’assurer la défense des militants et candidats par ailleurs membres d’un syndicat, de mettre au point un argumentaire expliquant aux syndiqués l’intérêt commun du combat qui veut favoriser le redressement économique de la France clef d’une vraie source de créations d’emplois pour nos compatriotes.
