Je tiens à exprimer ma profonde indignation face à la décision de la direction de la SNCF de refuser la diffusion de la campagne publicitaire prévue par les éditions Fayard pour la sortie du livre « Ce que je cherche ».
Cette décision a été prise à la demande de syndicats d’extrême gauche qui, ces derniers jours, ont multiplié les pressions, s’arrogeant le droit de décider qui est libre ou non de communiquer dans l’espace public.
En cédant aux intimidations d’une minorité d’activistes radicalisés, la direction de la SNCF commet un dérapage grave. Aujourd’hui, c’est ma voix qui est censurée, mais demain, ce seront d’autres qui, elles aussi, seront réduites au silence.
Je m’insurge contre cette dérive inquiétante qui piétine les principes mêmes de la démocratie. La censure, quelle que soit sa forme, est inacceptable dans un État de droit.
Je demande à la SNCF de revenir sur cet acte de censure inadmissible, qui met à mal son devoir de neutralité. Le cas échéant, des recours par voie légale seront engagés.
J’appelle également les Français à se mobiliser pour défendre la liberté d’expression, aujourd’hui mise en danger par la direction d’une grande entreprise de service public, et par des groupes de pression idéologiques aux méthodes totalitaires qui cherchent à imposer une pensée unique.