Communiqué de Presse de Steeve Briois, Secrétaire Général du Front National
Alors qu'elle était annoncée comme un grand rassemblement populaire, la réunion organisée par le Parti communiste autour d’Alexis Corbière, bras droit du conducator Mélenchon, a attiré presse et caméras... mais seulement 80 personnes ! Si l’on retire les adjoints d'Eugène Binaisse, leurs familles et leurs affidés, le constat est simple : le peuple d'Hénin-Beaumont est resté chez lui.
Mais puisque le Parti communiste, travesti en "Front de Gauche", est venu parler de mensonges, il convient donc de rétablir quelques vérités historiques qu'il souhaite faire oublier aux Héninois.
Le Front de Gauche défenseur des ouvriers ? En 1992, son candidat, M. Mélenchon, était le porte-parole du PS dans la campagne du OUI au traité de Maastricht. Le résultat, c’est qu’il a rendu possible l’ultra-libéralisation de l'économie, du secteur de l'énergie et qu’il a accouché de l'euro. En faisant voter le traité de Maastricht, M. Mélenchon a prostitué la France aux marchés financiers et au mondialisme. À cette époque, il vrai qu'il préférait sans doute le confort des ministères à la révolte de tout un peuple.
Si aujourd'hui l'ancien ministre socialiste effectue ce revirement, c'est par pur électoralisme, mais certainement pas par convictions.
Au niveau local, les Héninois n'oublient pas que, par deux fois, le Parti communiste s’est donné à Gérard Dalongeville, soit en fusionnant les listes municipales (2001), soit en faisant liste commune dès les premier tour (2008).
Quoique souffrant de troubles de la mémoire, le PC ne pouvait ignorer qu’il soutenait un mauvais gestionnaire et un corrompu. Il suffisait pour s’en convaincre de lire les multiples rapports de la Chambre régionale des Comptes, voire les tracts du Front national depuis 2002.
Face aux complices de Dalongeville au niveau local et aux séides du mondialisme au niveau national, choisir le Front national c’est opter pour la cohérence et l’opposition de combat.