Conférence du prédicateur islamiste Hani Ramadan à la mosquée UOIF de Roubaix : le Préfet du Nord doit l’interdire !

Steeve Briois

Communiqué

31 janvier 2017

Communiqué de presse de Steeve Briois, Vice-président du Front National, Maire d’Hénin Beaumont et Député français au Parlement européen

La mosquée UOIF de Roubaix, organise ce samedi 4 février 2017, une conférence avec deux prédicateurs islamistes, Eric YOUNOUS et Hani RAMADAN. Parce que ce dernier a déclaré que la lapidation des femmes adultères devait être considérée comme une « purification » ou encore qu’une femme non voilée était comme « une pièce deux euros » car « visible pour tous, elle passe d’une main à l’autre », le frère de Tarik Ramadan ne doit plus pouvoir sévir et prêcher un discours de haine des droits des femmes et de notre civilisation.

Le Préfet du Nord doit considérer que tels propos tenus pour certains en 2016, dans un contexte de menace d’attentats islamistes, constituent une grave menace à l’Ordre public. C’est pourquoi, alors que la France vit encore sous l’Etat d’urgence, il n’est pas admissible qu’une telle conférence puisse avoir lieu ni que le ministre de l’intérieur Bruno Leroux laisse pénétrer sur notre sol, un prédicateur islamiste étranger qui entretient des liens notoires avec la confrérie des frères musulmans. A ce titre, le Préfet du Nord pourra se fonder sur un précédent arrêté d’interdiction à l’encontre d’Hani Ramadan, qui avait été pris par le maire de Nîmes en septembre 2016 et avait été validé par le juge des référés du tribunal administratif.

Le Front National rappelle qu’en France, l’égalité homme-femme est un principe non négociable et que tout propos justifiant des pratiques barbares d’un autre âge n’aura jamais sa place dans aucun territoire de la République. A ce titre, l’accueil du prédicateur par une mosquée gérée par l’UOIF démontre la menace que fait peser cette organisation sur la laïcité et l’identité nationale et l’urgence qui commande sa dissolution. L’interdiction de la conférence d’Hani Ramadan et son expulsion du territoire national doivent désormais marquer le début d’une politique de tolérance zéro avec l’islamisme, terreau sur lequel prospère le terrorisme.

Steeve Briois

Communiqué

31 janvier 2017

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