Jersey, comme Bruxelles, décide de sacrifier la pêche
Le bailliage de Jersey envisage une taxation des licences accordées aux pêcheurs normands. Cette mesure hostile n’est que la dernière d’une série d’actions du gouvernement britannique. Celui-ci a clairement décidé de sacrifier la pêche locale ou étrangère, pour privilégier d’autres usages de ses eaux territoriales comme la mise en place d’aires marines protégées ou d’éoliennes en mer.
Dans le conflit des usages de la mer à Jersey, la pêche semble avoir perdu au profit d’autres activités considérées comme plus lucratives.
Ces erreurs qui mettent en péril notre souveraineté alimentaire ne sont pas l’apanage de Jersey. Elles sont en réalité le reflet de l’effet de mode du capitalisme vert qui sévit tout autant dans l’Union Européenne où la Commission d'Ursula von der Leyen est engagée dans une promotion fanatique des mêmes aires marines protégées et des même éoliennes marines qui conduisent aux même résultats : la mise au ban de nos pêcheurs qui sont empêchés de travailler.
Nous ferons tout notre possible pour stopper l’empiètement d’activités inutiles, coûteuses et entièrement idéologiques sur l’outil de travail de nos pêcheurs que sont nos mers et nos océans.
