Les sénateurs de gauche font la course à l’immigration avec Sarkozy au lieu de défendre les communes de France !

Michel Guiniot

Communiqué

07 décembre 2011

Communiqué de presse de Michel Guiniot, Conseiller Politique de Marine LE PEN aux élus locaux et à la réforme territoriale

Le Sénat, présidé par le très à gauche Jean-Pierre BEL, vient de rejeter les crédits que le gouvernement UMP proposait pour la mission immigration, asile et intégration, au motif que ces crédits n'étaient pas suffisants !

Pourtant, le gouvernement qui a réduit considérablement le financement des petites communes, s'est montré très généreux pour les crédits consacrés à l'immigration.

Ces crédits en hausse de plus de 12%, atteignaient, dans le projet de budget, la somme pharaonique de 561 millions d'euros en autorisations d'engagement et 622 millions d'euros en crédits de paiement !

A l'occasion de ce vote, l'association immigrationiste France Terre d'Asile a avoué que les crédits réellement consommés ont largement dépassé les prévisions depuis plusieurs années. En 2010, ce sont 410 millions d'euros qui ont été consommés au titre de l'asile pour un budget prévu de 285,6 millions d'euros.

Les élus locaux, notamment ceux des petites communes rurales, qui ne savent pas comment ils pourront boucler leur budget 2012, ni comment assurer le financement des projets de leurs communes, peuvent aujourd'hui constater que le Front National et Marine LE PEN disent la vérité lorsqu'ils dénoncent le financement hallucinant de l'immigration par le gouvernement de Nicolas Sarkozy avec l'argent public au moment où le pays est en situation de faillite.

L'attitude des sénateurs de gauche confirme la volonté d'une politique ultra-immigrationiste du PS d'Hollande et d'Aubry. PS et UMP font la course à l’immigration, et ce sont les Français qui trinquent.

Les élus ruraux, qui n'ont bien sûr pas voté pour cela lors du scrutin sénatorial du 25 septembre dernier, peuvent faire confiance à Marine LE PEN pour défendre les communes de France.

Michel Guiniot

Communiqué

07 décembre 2011

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