Délit de solidarité, le Conseil Constitutionnel encourage l’illégalité, le Rassemblement National veut que le peuple se prononce !

Rassemblement National

Communiqué

06 juillet 2018

Communiqué de presse du Rassemblement National

Marquant une nouvelle fois le caractère politisé du Conseil Constitutionnel, cette censure du délit d’entrave est une nouvelle atteinte à l’intégrité de la Nation française et un nouveau soutien aux trafiquants d’êtres humains en tout genre.

Si la vie d’une personne n’est pas directement en jeu, aider quelqu’un à rester dans l’illégalité doit être considéré comme un délit.

Le Conseil Constitutionnel évoque pour justifier sa décision l’aspect désintéressé des personnes qui aident les migrants ; mais ces personnes ne sont absolument pas désintéressées, car elles sont au service d’une idéologie, celle du sans-frontiérisme, celle du déracinement, celle de la disparition des Nations ; il évoque ensuite la fraternité, troisième terme de notre devise ; mais cette fraternité, présente à l’article 2 de notre Constitution, s’exerce d’abord et avant tout entre les enfants de France.

L’immigration de masse que cette décision encourage est clairement une violation des droits de la Nation française. Or, comme le rappelait une éminente personnalité qui reste une référence morale : « La violation des droits de l'homme va de pair avec la violation des droits de la nation, avec laquelle l'homme est uni par les liens organiques, comme avec une famille agrandie. L’homme unit sa profonde identité humaine avec son appartenance à une nation ». Alors le rôle des pouvoirs publics est de protéger notre Nation.

La question de l’immigration de masse, aussi bien légale qu’illégale, est d’une importance vitale pour la survie même de notre pays. Il est donc indispensable d’interroger directement le peuple sur ce sujet.

Alors, messieurs les censeurs ayez le courage de demander au peuple son avis

A cet effet, les députés du Rassemblement national ont déposé trois amendements dans le cadre le réforme constitutionnelle en cours, l’un pour élargir les sujets pouvant faire l’objet d’un referendum, un second pour permettre au peuple ou au parlement de s’opposer à une décision du Conseil Constitutionnel et un troisième pour créer un vrai référendum d‘initiative populaire.

Rassemblement National

Communiqué

06 juillet 2018

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